Gratis Versand in ganz Österreich
Bookbot

Paul Rateau

    Leibniz et le meilleur des mondes possibles
    La question du mal chez Leibniz
    L' idée de théodicée de Leibniz à Kant
    Lectures et interprétations des Essais de théodicée de G. W. Leibniz
    • En 1710 paraissaient à Amsterdam les Essais de théodicée, sur la bonté de Dieu, la liberté de l'homme et l'origine du mal, seul ouvrage philosophique d'importance publié du vivant de Leibniz. En dépit de sa notoriété, ce livre, souvent considéré comme un exposé «populaire» et non véritablement systématique de la philosophie leibnizienne, a rarement été étudié en lui-même et pour lui-même. L'objet des études réunies dans ce volume est de montrer son originalité et son importance théorique, par les questions et les thèmes qui y sont traités. Le premier chapitre examine les présupposés et les implications de la thèse de la création divine du meilleur monde possible. Le second aborde l'ordre naturel et le statut du corps dans le cadre général de l'hypothèse de l'harmonie préétablie. Le troisième est consacré au problème de la liberté et du mal, le quatrième au rapport entre foi et raison et à la question des miracles. Le dernier chapitre envisage les enjeux pratiques, religieux et politiques des thèses développées dans la Théodicée (la réunion des Églises, les relations entre les États).

      Lectures et interprétations des Essais de théodicée de G. W. Leibniz
    • L’objet de ces contributions est d’étudier le devenir de la théodicée après Leibniz, dans la tradition allemande jusqu’à Kant. La théodicée dont Kant hérite et qu’il critique pourrait n’avoir de leibnizien que le nom et renvoyer, avant tout, à un genre philosophique, comprenant des doctrines très différentes. La référence, courante au XVIIIe siècle, sous le terme général d’«optimisme» ou de «système de l’optimisme», aux thèses de Leibniz et d’Alexander Pope, traduirait une extension et une transformation de la notion de théodicée, dont il s’agit de montrer les étapes et de mesurer les conséquences. Les textes sont rassemblés sous trois grands chapitres. Il s’agit tout d’abord de rendre compte de la nature et de la portée du projet de théodicée, tel qu’il fut conçu par Leibniz, ensuite de montrer la manière dont la question de la théodicée a été reprise et traitée dans le contexte de la controverse sur l’«optimisme», enfin d’apprécier l’évolution de la pensée kantienne de la période précritique au constat de l’échec de tout essai de théodicée «dogmatique». Figure en appendice une étude sur l’usage de la notion de théodicée par Hegel.

      L' idée de théodicée de Leibniz à Kant
    • La question du mal chez Leibniz

      • 752 Seiten
      • 27 Lesestunden

      "L'ouvrage expose la genèse et les fondements de la Théodicée de Leibniz. La première partie replace la question du mal et de lajustice divine dans le cadre de l'effort leibnizien de rationalisation du droit et de la théologie entrepris dès 1667. La deuxième partie montre de quelle façon et dans quel contexte s'élabore le projet de Théodicée et se construit, sur la base d'une théor ie de la dispute, le discours réfutatif visant à réduire les objections de Bayle. Enfin, la troisième partie examine le volet proprement théorique de cette doctrine sans démonstration : l'explication du concours divin, l'origine et la nature du mal, la liberté de l'homme et les principes moraux de son action dans le monde."--P. 4 de la couv.

      La question du mal chez Leibniz
    • L'affirmation de l'existence du meilleur des mondes possibles est l'une des thèses leibniziennes les plus connues et sans doute l'une des plus mal comprises. Cet ouvrage en explique le sens, montre sur quels fondements théoriques elle repose et envisage ses implications sur les plans métaphysique et moral.

      Leibniz et le meilleur des mondes possibles