François Maspero Bücher
Dieser französische Schriftsteller, Übersetzer, Verleger und Zeitschriftenleiter war eine bedeutende Persönlichkeit in der literarischen und kulturellen Szene. Seine umfangreichen Werke befassten sich mit vielfältigen Themen und trugen zum intellektuellen Diskurs seiner Zeit bei.






Das Lächeln der Katze. Roman
- 343 Seiten
- 13 Lesestunden
An einem dunstigen Sommermorgen des Jahres 1945 wird der junge Daniel Sempere von seinem Vater an einen geheimnisvollen Ort in Barcelona geführt – den Friedhof der Vergessenen Bücher. Dort entdeckt Daniel den Roman eines verschollenen Autors für sich, er heißt ›Der Schatten des Windes‹, und er wird sein Leben verändern … ›Der Schatten des Windes‹ ist der erste Carlos Ruiz Zafón's vier großen Barcelona-Romane. Auf ›Der Schatten des Windes‹ folgten ›Das Spiel des Engels‹ und ›Der Gefangene des Himmels‹. Der vierte und abschließende Band ist in Arbeit.
En 1995, après cinq ans de voyages dans les Balkans en guerre et un détour par Sarajevo assiégée, François Maspero chemine de nouveau de l’Adriatique à la mer Noire avec le photographe Klavdij Sluban. Les paysages et les pierres parlent, les voix s’entrecroisent. À chaque pas, c’est la découverte de l’histoire et de la vie des hommes. Un récit où l’émotion, jamais absente, redonne confiance dans les pouvoirs de l’écriture.
›Das Spiel des Engels‹ erklomm Platz 1 der Spiegel-Bestsellerliste und behauptete sich über 40 Wochen lang auf der Liste.Wir schreiben das turbulente Jahrzehnt vor dem Spanischen Bürgerkrieg, als alles aus den Fugen gerät. Die Bevölkerung Barcelonas explodiert, die Stadt expandiert, Gaudí erschafft seine Kathedrale, Banden kontrollieren ganze Stadtviertel und die Anarchisten zünden ihre Bomben. Der junge David Martín fristet sein Leben als Autor von mysteriösen Kriminalromanen und Detektivgeschichten. Als ernsthafter Schriftsteller verkannt, von einer tödlichen Krankheit bedroht und um die Liebe seines Lebens betrogen, scheinen seine großen Erwartungen sich in nichts aufzulösen. Doch einer glaubt an sein Talent: Der mysteriöse Verleger Andreas Corelli macht ihm ein Angebot, das Verheißung und Versuchung zugleich ist. David kann nicht widerstehen und ahnt nicht, in wessen Bann er gerät…Mit unwiderstehlicher erzählerischer Kraft lockt uns Carlos Ruiz Zafón wieder auf den Friedhof der Vergessenen Bücher: mitten hinein in einen Kosmos voller Spannung und Phantastik, Freundschaft und Liebe, Schrecken und Intrige.
L'artiste des dames
- 300 Seiten
- 11 Lesestunden
Mis à la porte de l'asile où il est resté enfermé pendant de longues années, le personnage du Mystère de la crypte ensorcelée et du Labyrinthe aux olives fait un retour fracassant dans une Barcelone transformée. Coiffeur occasionnel, bohème et voyou impénitent, il se voit obligé de mener l'enquête sur l'assassinat d'un homme d'affaires important afin de ne pas être accusé de meurtre. Mais si le personnage est toujours aussi rocambolesque, la ville, elle, a changé : ses règles sont plus complexes, ses affaires plus troubles et moins visibles, et au crime se mêle une corruption effrénée. L'Artiste des dames est un roman délirant, marqué par le contraste entre des péripéties burlesques et une peinture de mœurs sombre et implacable. En respectant scrupuleusement les règles du thriller et en revenant à la parodie de ses premiers textes, Eduardo Mendoza tient son lecteur en haleine jusqu'à la dernière page dans un formidable éclat de rire.
Cent bouteilles sur un mur
- 320 Seiten
- 12 Lesestunden
Zeta est sacrément excentrique. Sentimentale, généreuse, bohème, aimant la rigolade et les mecs, elle n'a que deux défauts : être un peu trop grosse et adorer à la folie Moisés, un macho infâme, une bête féroce, un apparatchik déchu qui la cogne et lui fait une vie impossible. C'est bien ce qui rend furieuse Linda Roth, la meilleure amie de Zeta, une tête froide et très cultivée, une "écrivaine" à succès, aimant elle aussi la rigolade et... les filles, rien que les filles. L'une vit dans la Maison du Joyeux Marteau où règnent le bruit et un indescriptible désordre, l'autre dans un splendide duplex à la bibliothèque bien fournie et impeccablement rangée.Inséparables, elles doivent faire face, avec leur bande de copains - et de copines - très déjantés, aux mille et une tracasseries de la vie quotidienne. Car avoir vingt ans à La Havane à l'époque révolue des idéologies et du glorieux avenir socialiste, c'est survivre comme on peut : prostitution par-ci, trafic de dollars et de moteurs de voiture par-là, troc, contrebande de cigares, et beaucoup de sexe, de rhum, de fêtes et de musique. La Havane est la ville aux mille métiers, la capitale du système D, où l'on rebâtit quand même le monde, sans nostalgie du passé, sans lamentations, avec une vitalité capable de triompher de la sclérose politique et du machisme dominant.
Le temps des Italiens
- 144 Seiten
- 6 Lesestunden
« Elle descendit plusieurs fois à sa plage, par des sentiers détournés. C'est là que le lieutenant Mario vint la rejoindre, une fin d'après-midi au coucher du soleil. Il s'accroupit à son côté, le regard fixé comme elle sur la mer et l'horizon borné par les îles.» Alors il se mit à parler. Il dit que c'était terminé, que Virgile allait revenir. Mais qu'Alice, Barbara et leurs parents avaient été retrouvés par les Français au moment où ils essayaient de passer en Italie. Elle ne les reverrait probablement jamais. Mais elle devait absolument se souvenir de leur nom. Il le répéta plusieurs fois et l'écrivit sur une feuille arrachée de son carnet. Il fallait, dit-il encore, il fallait qu'il y ait au moins une personne qui se souvienne d'elles. Il fallait absolument qu'elle, Lise, se souvienne toujours d'elles. A ce moment-là, il passa comme autrefois sa main dans les cheveux de Lise. Il dit qu'ils avaient beaucoup repoussé depuis le jour de son arrivée, qu'elle était décidément déjà une jeune fille, et elle ne sentit aucune ironie dans sa voix. « Puis il dit qu'il allait partir, lui aussi. Dans le froid ? demanda Lise. Il répondit que oui, dans le froid. Il parla encore longtemps. Il ne la regardait pas. Il fixait toujours la ligne des îles, à l'horizon. Lise aussi. Mais la nuit tombait, et sa vue se brouillait.»



