San-Antonio Reihenfolge der Bücher
Frédéric Dard war ein produktiver französischer Schriftsteller, der vor allem für seine äußerst beliebte Krimireihe um Kommissar San-Antonio bekannt ist. Neben dieser Serie, die einen außergewöhnlichen Erfolg feierte, schrieb er auch spannende psychologische Thriller, umfassende Romane und Erzählungen, was seine literarische Vielseitigkeit unter Beweis stellt. Sein Werk zeichnet sich durch einen unverwechselbaren Stil und tiefe Einblicke in die menschliche Psyche aus. Dards Einfluss auf die französische Nachkriegsliteratur, insbesondere auf das Krimi-Genre, ist unbestreitbar und seine einzigartige Stimme spricht auch heutige Leser an.







- 2017
- 2001
Céréales killer
- 252 Seiten
- 9 Lesestunden
Il s'en passe de drôles dans les plaines de Beauce. La jeunesse du cru a organisé une "rave-party" au milieu des champs. Mélanie Godemiche, la prêtresse de cette fîesta a été retrouvée atrocement mutilée et qui plus est un peu morte. Si je te dis que mon fils Antoine, San-Antonio Junior, a paumé sa casquette sur le lieu du crime, tu comprends mon souci ?Le 6 juin 2000, Frédéric Dard nous quittait, laissant derrière lui son œuvre géniale et des millions de lecteurs orphelins. Écrivain passionné jusqu'à son dernier souffle, il nous a fait le cadeau de ce roman posthume dans lequel son humour, son sens du suspense et son éternelle jeunesse éblouissent notre esprit ! Le Commissaire est toujours là, qu'on se le dise ! En compagnie de Bérurier, Berthe, Marie-Marie et toute la fine équipe !
- 1997
- 1996
Gentil lecteur bien-aimé, en lisant ce puissant ouvrage de politique-fiction (ou de politique-affliction), n'oublie pas que si je puise certains de mes héros dans la vie courante, je les entraîne par contre dans des délirades qui n'appartiennent qu'à moi. En somme, je les prends en charge et leur offre une croisière dans mon imaginaire. Tous frais payés. Ils en ont de la chance !
- 1996
Il joue les amoureux transis avec la nièce et les Casanova avec la tante. Il se damnerait pour un baiser de la première et rêve de culbuter la seconde. L'une et l'autre le font mourir d'amour et de désir. Mais Jérôme Deuilh, écrivain réputé, venu écrire en Italie un livre sur l'architecture fasciste, se délecte de cette situation équivoque. Amant de cœur pour l'une, étalon à demeure pour l'autre, le Parisien ne se voit plus d'autre avenir qu'entre les murs feutrés du si noble palais Rizzi. Sans se douter qu'un piège, délectable certes, mais inexorable, se referme sur lui... " Une intrigue en tout point envoûtante ". " VSD " " Une gravité, une esquisse de tragique auxquels San-Antonio ne nous avait pas accoutumés. " Jean-René Van der Plaetsen, " Le Figaro " " Un conte de fées terrible. Frédéric Dard n'avait jamais associé avec autant d'émotion le déroulement d'un pur suspense psychologique au lent dévoilement d'une authentique déchirure morale. (...) Le tour d'écrou final, par sa noirceur frénétique, nous laisse pantelants et médusés. " François Rivière, " Libération "
- 1995
Le plus terrifiant bras de fer de ma carrière me met aux prises avec un tyran fou.Il pleut des morts !Partout le danger !D'accord, je baise énormément pour pouvoir conserver le moral, n'empêche que je traverse une zone à hauts risques davantage semée d'embûches que la Place de la Concorde.Là où je vais, si tu veux revoir Paris, faut ouvrir l'oeil et serrer les miches.Seulement moi, tu me connais ?C'est les poings que je serre et la porte de devant de mon bénard que j'ouvre.En grand !C'est bon pour la ventilation de mes aumônières.
- 1994
La vérité ? Rarement je suis passé aussi près de la grande faucheuse que dans ce book. Un tout petit peu plus, c'était " bon suaire, m'sieurs-dames " sur l'air des lampions. Et tout ça, tu veux que je te dise ? A cause d'une gentille opticienne qui n'avait pas mis de culotte pour faire sa vitrine. Nous autres tringleurs, on est peu de chose, tu sais ! Pendant que j'y pense : n'en parle pas à maman, elle se ferait du mouron. Tu connais Félicie !...
- 1994
Je file un coup de périscope hors de ma tire et j'avise une Aronde qui se pointe à ma hauteur. L'espace d'une seconde, je me dis qu'il s'agit peut-être d'un coup fourré organisé par des malfrats qui en voudraient à mes os préférés, mais je décide que des truands ne klaxonneraient pas pour se signaler à mon attention et que, d'autre part, ils ne rouleraient pas dans une Aronde. Alors, je lève le pied...








