Über Deutschland
- 228 Seiten
- 8 Lesestunden
François Mitterrand Bücher
26. Oktober 1916 – 8. Jänner 1996
Dieser Autor konzentriert sich nicht nur auf Politik, sondern erforscht durch sein Schreiben die Tiefe menschlicher Erfahrung. Seine Werke befassen sich oft mit Themen wie Identität, Macht und gesellschaftlichem Wandel und analysieren die komplexen Beziehungen zwischen Individuen und den Strukturen, die sie prägen. Der unverwechselbare Stil des Autors liegt in scharfer Beobachtung und der Fähigkeit, subtile Nuancen menschlichen Verhaltens einzufangen. Durch seine Texte bietet er den Lesern eine zum Nachdenken anregende Perspektive auf die Herausforderungen des modernen Lebens.
La mort intime
Ceux qui vont mourir nous apprennent à vivre - Préface de François Mitterrand
- 231 Seiten
- 9 Lesestunden
Editeur : Robert Laffont Date de parution : 1996 Description : In-8, 232 pages, broché, occasion, bon état. Envois quotidiens du mardi au samedi. Les commandes sont adressées sous enveloppes bulles. Photos supplémentaires de l'ouvrage sur simple demande. Réponses aux questions dans les 12h00. Librairie Le Piano-Livre. Merci. Please let us know if you have any questions. Thanks
Les mots de François Mitterrand
- 182 Seiten
- 7 Lesestunden
Lettres à Anne: 1962-1995
- 1276 Seiten
- 45 Lesestunden
En 1962, un homme politique français de quarante-six ans rencontre à Hossegor, chez ses parents, une jeune fille de dix-neuf ans. La première lettre qu'il lui adresse le 19 octobre 1962 sera suivie de mille deux cent dix-sept autres qui se déploieront, sans jamais perdre de leur intensité, jusqu'en 1995, à la veille de sa mort. Les lettres de celui qui fut deux fois président de la République nous dévoilent des aspects totalement inconnus d'un homme profondément secret que chacun croyait connaître. Deux lettres, parmi des centaines, témoignent de la constance de cet amour. 15 novembre 1964 : "Je bénis, ma bien-aimée, ton visage où j'essaie de lire ce que sera ma vie. Je t'ai rencontrée et j'ai tout de suite deviné que j'allais partir pour un grand voyage. Là où je vais je sais au moins que tu seras toujours. Je bénis ce visage, ma lumière. Il n'y aura plus jamais de nuit absolue pour moi. La solitude de la mort sera moins solitude. Anne, mon amour". Et la correspondance prend fin le 22 septembre 1995 : "Tu m'as toujours apporté plus. Tu as été ma chance de vie. Comment ne pas t'aimer davantage ?".
