Dieser produktive Autor schrieb umfangreiche Werke in chinesischer und englischer Sprache und gründete in den 1930er Jahren mehrere chinesische Zeitschriften, die sich sozialer Satire und westlichem Journalismus widmeten. Sein Werk zeichnet sich durch eine tiefe Auseinandersetzung mit chinesischer Kultur und Geschichte aus, die westlichen Lesern mit einer einzigartigen Sensibilität präsentiert wird. Er widmete sich auch der literarischen Übersetzung und machte chinesische Meisterwerke einem breiteren Publikum zugänglich. Seine Schriften erforschen oft Themen wie Identität und kulturelle Begegnungen.
A notable aspect of this work is its bold critique of Western racism and imperialism, diverging from Lin Yutang's earlier writings. Published during World War II, the book reflects urgent themes of its time, urging readers to confront pressing global issues with clarity and simplicity. Yutang emphasizes the necessity of honest discourse in the face of impending conflict, making this a significant contribution to wartime literature and a call for critical reflection on societal values.
Après Enfances chinoises, voici le deuxième tome d'Un moment à Pékin, considéré par la critique comme le meilleur roman de Lin Yutang. Et si l'écrivain a choisi de déployer une vaste fresque romanesque à travers l'histoire entrelacée de clans familiaux, c'est que la famille est " le miroir où se réfléchit ce qui se trame dans la société tout entière ". Rien n'est plus vrai en ce moment clé du début du XXe siècle, où le destin de la Chine bascule. Les événements s'accélèrent, allant de la chute du régime mandchou à l'invasion japonaise, et personne ne peut échapper aux remous de l'histoire, ni aux choix qui s'imposent. S'enrichir par le trafic de l'opium, s'enthousiasmer pour les idées nouvelles, rejoindre les manifestations étudiantes malgré la sanglante répression, affronter les changements et, encore et toujours, aimer, croire en l'homme et en sa capacité de défendre sa liberté et ses rêves. Car, ainsi que le découvre Moulane au milieu des privations et des souffrances des réfugiés, " il n'existe pas de catastrophe si grande que l'esprit humain ne puisse s'élever au-dessus d'elle, et, par son ampleur même, la transformer en quelque chose de grand et de radieux ".
Vieles Neues geschieht im China des Jahres 1899: Von überall her drängen fremde Menschen in das zuvor verschlossene Reich. Sie bringen etwa die Eisenbahn, die bei der Provinzstadt Gaomi über die Gräber der Ahnen verlaufen soll. Vieles geht aber auch zu ende in diesen letzten Tagen des Jahrhunderts: Das Kaiserreich liegt in Agonie, ebenso wie Sun Bing, der Opernsänger und Anführer des Aufstandes gegen die Trasse und deren Erbauer. Um seinen Ungehorsam zu ahnden, bündelt die Staatsmacht alle ihre Kräfte und verordnet ein letztes Mal die Sandelholzstrafe, die grausamste und zugleich kunstvollste der überkommenen Foltermethoden. Leib und Leben nicht allein des Opfers, sondern auch seiner Tochter, ihres Ehemanns, ja selbst des Henkers und des Richters stehen mit diesem Urteilsspruch auf dem Richtplatz der Geschichte.