Francis Carco Bücher
Francis Carco war ein bemerkenswerter französischer Dichter, Schriftsteller und Journalist, dessen Werk oft sein korsisches Erbe widerspiegelt. Seine Schriften zeichnen sich durch ihre lyrische Qualität und eine tiefgründige Auseinandersetzung mit der menschlichen Verfassung aus. Neben seinen literarischen Bemühungen trug er auch als Liedtexter zur Musikszene bei. Carcos Vermächtnis liegt in seiner ausgeprägten Fähigkeit, poetische Sensibilität mit fesselnder Erzählung zu verbinden.






Jesus Schnepfe
Roman
Ein schonungsloses Sittenbild der Unterwelt in der Belle Epoque. Ein Roman über die vielfältigen Beziehungen unter „Apachen“, jungen Gaunern, Strichjungen und Huren, in einer Gemeinschaft, die sich ihre eigenen (archaischen) Gesetze gegeben hat.
Streetcorners
- 112 Seiten
- 4 Lesestunden
Francis Carco's journey from a libertine youth in New Caledonia to a bohemian figure in Paris is vividly captured in this collection. His experiences before World War I, marked by excess and collaboration with notable avant-garde artists, inform the narrative of "Instincts," from which many selections are drawn. Carco's struggles with addiction and his vibrant lifestyle reflect the tumultuous spirit of the era, offering a unique glimpse into the life of a writer deeply embedded in the artistic movements of the early 20th century.
De Montmartre au Quartier latin
- 215 Seiten
- 8 Lesestunden
Maître de la littérature populaire et précurseur du roman noir, Francis Carco est né à Nouméa (Nouvelle-Calédonie) le 3 juillet 1886. Poète, conteur, critique, auteur dramatique et romancier, sa jeunesse s'écoule au milieu de la bohème du Quartier latin et de la butte Montmartre. En 1923, l'Académie française lui décerne le Grand Prix du roman pour l Homme traqué. En 1937, il est élu membre de l'Académie Goncourt. Il meurt à Paris en 1958. Francis Carco est « l'écrivain des bas-fonds ». « Les rues obscures, les bars retentissants des appels des sirènes, les navires en partance et les feux dans la nuit » hantent son univers (Katherine Mansfield). Dans le Paris des mauvais garçons et des filles de joie, il a partagé la vie de bohème d'Apollinaire, Max Jacob, Modigliani ou Pierre Mac Orlan.« Carco est un poète en demi-teintes, il bannit le verbiage, le clinquant, le faux lyrisme. Jusque dans ses poèmes les plus simples, on sent une sorte d'arrière-tremblement, de frémissement. Sa couleur est le gris, celui des murs, des jours, des souvenirs. Ses paysages campagnards ou urbains sont mouillés de pluie. Les bonheurs charnels sont courts et sans lendemain. On voit des bars, des ombres, des pas solitaires, un univers triste et las. Ce sont les amours de rues sans joie comme dans les chansons des chanteuses réalistes, de Damia à Fréhel, mais Carco excelle à jouer des airs tristes et tendres, à composer même sur un air de java. » Robert Sabatier



