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Franz Riklin

    8. September 1941 – 17. Oktober 2022
    StPO
    Schweizer Jugendstrafrecht
    Kapituliert die Strafjustiz vor der Psychiatrie?
    Strafen ohne Augenmass
    Schweizerisches Presserecht
    Von der Aufklärung verschont
    • Medien und Politik kritisieren die vermeintliche Kuscheljustiz und fordern eine Verschärfung des Strafrechts, einschließlich höherer Strafen, lebenslanger Haft und automatischer Verwahrung bei Wiederholungstätern. Zudem sollen Entscheidungsträger für rückfällige Straftäter persönlich haftbar gemacht werden. Diese Forderungen greifen die Unabhängigkeit der Gerichte und das Prinzip der Gewaltenteilung an. Die Legislative erlässt Gesetze, die Exekutive setzt sie um, und die Judikative entscheidet in Einzelfällen unter Berücksichtigung aller relevanten Umstände. Richterinnen und Richter dürfen nicht nach Automatismen urteilen. Die aktuellen Vorschläge zielen darauf ab, die Judikative durch gesetzgeberische Maßnahmen zu schwächen. Dies würde den Richtern verbieten, den Einzelfall nach pflichtgemäßem Ermessen zu bewerten und angemessene Sanktionen zu verhängen. Solche Maßnahmen gefährden die Integrität des Rechtsstaats. Die Forderungen nach einer Verschärfung des Strafrechts und der individuellen Haftung der Richter stellen eine ernsthafte Bedrohung für die Unabhängigkeit der Justiz dar und untergraben die grundlegenden Prinzipien der Rechtsstaatlichkeit.

      Strafen ohne Augenmass
    • Die Zahl psychisch kranker Häftlinge steigt in schweizerischen Strafanstalten stetig. Erklärt sich dies aus dem Umstand, dass die Strafbehörden bei ihren Entscheiden vermehrt psychiatrische Gutachten beiziehen? Oder wird ein sozial abnormes Verhalten zunehmend als psychische Erkrankung gesehen? Hat das Verschuldensstrafrecht noch Gültigkeit? Oder wird die öffentliche Sicherheit überbetont? Mit der Folge, dass der Häftling nicht mehr nur seine Strafe abzusitzen hat, sondern auch solange präventiv zurückbehalten wird, bis die Verantwortlichen der Psychiatrie in ihrer Beurteilung davon ausgehen, dass von ihm keine Gefahr mehr droht. Le nombre de détenus souffrant de troubles psychiques augmente continuellement dans les prisons suisses. Cette tendance forte s’explique-t-elle par le fait que les autorités pénales demandent toujours plus d’expertises psychiatriques? Ou un comportement socialement anormal est-il de plus en plus considéré aujourd’hui comme une maladie psychique ? Le droit pénal fondé sur la culpabilité est-il encore valide ? Ou accorde-t-on trop d’importance à la sécurité publique? La conséquence de tout cela est que le détenu ne doit plus seulement purger sa peine, mais qu’il est également maintenu enfermé de manière préventive, jusqu’à ce que les responsables de la psychiatrie estiment qu’il ne représente plus aucun danger.

      Kapituliert die Strafjustiz vor der Psychiatrie?
    • L’année 2013, la justice pénale des mineurs a été particulièrement sous le feu des projecteurs. Les questions de violence des mineurs, de justice «câline» et le cas «Carlos» étaient omniprésents dans toutes les bouches et tous les médias. Sur la scène politique et dans tous les partis, le droit pénal des mineurs a fait l’objet de discussions nourries. Les appels au durcissement, au rapprochement avec le droit pénal des adultes ou avec les autres pays européens, ainsi qu’à l’abandon des mesures éducatives au bénéfice d’un pur régime répressif, se sont faits de plus en plus bruyants. Le droit pénal suisse des mineurs est-il vraiment trop doux? Pour quelles raisons le nombre de condamnations par la justice des mineurs a-t-il baissé ces dernières années? Comment réagissent les spécialistes nationaux ou de l’Europe voisine à ce droit pénal des mineurs centré sur l’auteur? Est-il temps de consolider les acquis ou est-ce qu’un changement de paradigme s’impose?

      Schweizer Jugendstrafrecht
    • StPO

      • 773 Seiten
      • 28 Lesestunden
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