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Weber Olivier

    La confession de Massoud
    La Lettera Rossa
    Le faucon afghan
    • 2013

      La confession de Massoud

      • 189 Seiten
      • 7 Lesestunden

      En août 2001, Olivier Weber porte son livre, Le Faucon afghan, au commandant Massoud. Deux jours avant les attentats du 11 Septembre 2001, le « Lion du Panshir » est tué dans un « attentat suicide ». Dans La Confession de Massoud, Olivier Weber emprunte la voix de celui qu'il a bien connu pour écrire un texte entre fiction et essai. Il porte le message que Massoud n'aura pas eu le temps de livrer au monde : une véritable profession de foi en faveur d'un Islam des Lumières. Dans cette confession imaginaire, un médecin, Hugo Baryton, qui connaît bien Massoud et la vallée du Panshir, est présent au moment de l'assassinat du « Lion ». Daoud, fidèle ami et responsable de la sécurité de Massoud, lui remet les enregistrements de ses dernières paroles, des confessions dans lesquelles il revisite le sens de son combat, se livre à un plaidoyer pour un Islam de la tolérance, qui s'incarne dans une vision poétique de la vie. Ce récit, au-delà de l'hommage rendu à Massoud, est une invitation à la liberté, à la tolérance et à la concorde entre les peuples. Le message de Massoud est un message de paix, celui qu'il aurait voulu transmettre et pour lequel, toujours, il a combattu.

      La confession de Massoud
    • 2001

      Le faucon afghan

      • 262 Seiten
      • 10 Lesestunden
      3,6(11)Abgeben

      Olivier Weber a pu passer quatre semaines en Afghanistan: un mois dans ce fief délirant et attachant, un mois dans le pays de l'absurde. Olivier Weber est un des meilleurs écrivains-voyageurs français. Il est un des rares journalistes européens depuis quatre ans à avoir passé un mois complet en Afghanistan, et à avoir pu sortir de Kaboul. Son expérience de la région, ses liens avec des chefs de tribu, des talibans, des marchands d'armes, des policiers, ont permis ce voyage. Il pratique l'ethnologie "participante": quand il entre dans un groupe, il adopte en tout point la façon d'être de ceux qui le composent.Dans les villes et villages où il a vécu, les personnages clef, les mollahs, les ministres l'ont reçu et se sont entretenus avec lui. Le pays est dirigé vers l'édification du Bien. Les miliciens cravachent dans les rues ceux qui ne vont pas prier à l'heure dite dans les mosquées; les voleurs ont une ou deux mains coupées, en public; les adultères et l'homosexualité sont punis de lapidation: on place les coupables sous un camion-benne rempli de blocs de pierre; la possession d'un lecteur de cassettes est punie de deux paires de gifles, dans le meilleur des cas; le dépassement du couvre-feu mérite une bastonnade... Il est aussi entraîné vers l'édification du Mal: les combines, les trafics, la culture du pavot, les négoces de l'opium, le marché noir des médicaments sont les méthodes les plus courantes grâce auxquelles les talibans vivent sur le peuple.Parallèlement à la vie contemporaine en Afghanistan, des scènes du passé éclairent le présent. Les batailles avec les Anglais, le séjour de Lawrence d'Arabie, les chasses au faucon, les visites aux bouddhas... permettent d'appréhender l'esprit et l'âme de ce peuple. Voilà des siècles que leur histoire se construit autour de leur caractère propre : orgueil et hospitalité, courage invincible et esprit de vengeance.

      Le faucon afghan