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Éric Fottorino

    Éric Fottorino ist ein französischer Journalist und Schriftsteller, dessen Werk sich mit den Komplexitäten von Identität und familiären Bindungen auseinandersetzt. In seinen Schriften erforscht er das komplexe Gewebe der Vergangenheit und die Suche nach dem eigenen Platz in der Welt. Sein Stil zeichnet sich durch scharfe Introspektion und eine einfühlsame Darstellung von Emotionen aus, die den Lesern eine fesselnde Reise in das Innenleben seiner Charaktere bietet. Fottorino verwebt meisterhaft persönliche Erzählungen mit umfassenderen gesellschaftlichen Themen und schafft so Geschichten, die lange nach der letzten Seite nachhallen.

    L'homme qui m'aimait tout bas
    Baisers de cinéma
    Dix-sept ans
    Peche du jour
    They defend our freedoms: 30 years of the Sakharov Prize
    Korsakov
    • Peche du jour

      • 67 Seiten
      • 3 Lesestunden
      3,9(27)Abgeben

      C'est un dialogue bouleversant et dérangeant que propose Éric Fottorino dans La Peche du jour. D'emblée s'installent le malaise, l'inconfort et le questionnement, jusqu'a la nausée. Qui parle ? Pourquoi ce mélange de cynisme, d'indifférence, d'impuissance, entre deux personnages réunis sur le port de Lesbos, en Grece, évoquant d'un ton lapidaire le destin des migrants. L'un est un étrange pecheur qui fait commerce de leurs corps sans vie. L'autre un curieux client dont on ne sait s'il veut acheter ces cadavres, ou se racheter. Nous racheter. Car c'est le miroir de nos renoncements que nous tend ce récit âpre et violent, aiguisé comme une lame, ou les mots sont autant d'incitations a nous réveiller. Des mots qui pourrissent de ne plus servir : accueil, entraide, secours, chaleur. Des mots qui n'ont rien a faire ensemble, comme crime de solidarité. A travers cette fable cruelle, l'auteur interroge notre humanité perdue en se demandant si nous n'avons pas cessé d'etre humains. Au moment ou le sort des réfugiés est sans cesse instrumentalisé, ou des milliers d'hommes, de femmes et d'enfants meurent de traverser la Méditerranée parce qu'ils veulent vivre, La Peche du jour est un texte d'intervention pour réfléchir, pour s'indigner, pour agir.

      Peche du jour
    • Dix-sept ans

      • 262 Seiten
      • 10 Lesestunden
      3,2(15)Abgeben

      Un dimanche de décembre, une femme livre à ses trois fils le secret qui l'étouffe. En révélant une souffrance insoupçonnée, cette mère niée par les siens depuis l'adolescence se révèle ainsi dans toute son humanité, avec ses combats et ses blessures.

      Dix-sept ans
    • Baisers de cinéma

      • 192 Seiten
      • 7 Lesestunden

      « Je ne sais rien de mes origines. Je suis né à Paris de mère inconnue et mon père photographiait les héroïnes. Peu avant sa mort, il me confia que je devais mon existence à un baiser de cinéma. » Photographe de plateau, le père de Gilles Hector a le don de pressentir chez les comédiens leurs moments d'abandon. Il sait saisir sur leurs visages une défaillance, une colère muette, la trace infime d'un incident de tournage. Après sa mort, Gilles hérite de sa sensibilité à la lumière, mais aussi de questions sans réponse. C'est alors qu'il retrouve Mayliss, croisée le jour de la mort de son père deux ans auparavant. Petit à petit, leur relation prend forme et Gilles vit à l'envers de sa vie... Éric Fottorino offre à son huitième roman des mots doux, presque fragiles, pour rendre hommage au cinéma, pour raconter un temps où l'amour peut encore apparaître comme un jeu risqué.

      Baisers de cinéma
    • L'homme qui m'aimait tout bas

      • 147 Seiten
      • 6 Lesestunden

      Récit autobiographique d'un dialogue imaginaire entre un père, Michel Fottorino et son fils, Eric. Ce dernier était le fils adoptif de M. Fottorino, disparu volontairement en 2008. Outre l'hommage à cet homme pudique, renfermé mais joyeux, l'auteur mène une réflexion sur la filiation et sur la culpabilité personnelle face au suicide.

      L'homme qui m'aimait tout bas
    • Afriqueparce que nous l'aimons.Besoinparce que le mépris et ses variantes, la pitié, la charité, les jérémiades, nous empêchent de recenser ce qu'aujourd'hui le monde doit à l'Afrique.Inventaireparce qu'on ne choisit pas, ni n'ordonne, les raisons d'aimer.Etparce que les Afriques sont innombrables. Nous avons commencé par la Noire.Eric Fottorino est romancier, journaliste au Monde .Christophe Guillemin est économiste, directeur à l'Organisation des Nations Unies pour le Développement Industriel.Erik Orsenna est romancier et fonctionnaire.

      Besoin d'Afrique
    • Quand Clara pousse la porte de la maison du bord de mer, elle veut comprendre pourquoi ce mystérieux écrivain est resté l'homme d'un seul roman, Qui se souviendra de nous ?, paru l'année de ses vingt ans en pleine Occupation. Étudiante en littérature, Clara découvre peu à peu que derrière le pseudonyme de Norman Jail se cache un maître de l'illusion dévoré par la rage d'écrire, auteur de nombreux manuscrits inédits sous les noms d'Alkin Shapirov, de José Manuel Ortega ou de Jean-François Purcell. Norman Jail ne dit pas forcément la vérité. Le secret de cet homme est à rechercher dans les plis de la fiction.

      Trois jours avec Norman Jail
    • Folio: L'homme qui m'aimait tout bas

      • 288 Seiten
      • 11 Lesestunden

      « Mon père s'est tué d'une balle dans la bouche le 11 mars 2008. Il avait soixante-dix ans passés. J'ai calculé qu'il m'avait adopté trente-huit ans plus tôt, un jour enneigé de février 1970. Toutes ces années, nous nous sommes aimés jusque dans nos différences. Il m'a donné son nom, m'a transmis sa joie de vivre, ses histoires de soleil, beaucoup de sa force et aussi une longue nostalgie de sa Tunisie natale. En exerçant son métier de kinésithérapeute, il travaillait "à l'ancienne", ne s'exprimait qu'avec les mains, au besoin par le regard. Il était courageux, volontaire, mais secret : il préféra toujours le silence aux paroles, y compris à l'instant ultime où s'affirma sa liberté, sans explication. "Ce sont les mots qu'ils n'ont pas dits qui font les morts si lourds dans leur cercueil", écrivit un jour Montherlant. Mais il me laissa quand même mes mots à moi, son fils vivant, et ces quelques pages pour lui dire combien je reste encore avec lui. »

      Folio: L'homme qui m'aimait tout bas