Robert Badinter, eine Verfassung für Europa
- 119 Seiten
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Robert Badinter war ein bedeutender französischer Anwalt, Akademiker, Essayist und Politiker, dessen Karriere von einem tiefen Engagement für Gerechtigkeit geprägt war. Er ist besonders für seine entscheidende Rolle bei der Abschaffung der Todesstrafe in Frankreich bekannt, ein Meilenstein, der die Rechtslandschaft des Landes neu gestaltete. Badinters Einfluss erstreckte sich auch auf die Reform des Strafgesetzbuches, was sein Engagement für ein humaneres und gerechteres Rechtssystem widerspiegelt. Seine Arbeit setzte sich für das Prinzip der individuellen Rechte ein und trug maßgeblich zur Weiterentwicklung des Rechtsdenkens und der Rechtspraxis bei.






This account provides an insider's perspective on the pivotal movement to abolish the death penalty in France. It delves into the political and social dynamics, highlighting the key figures and events that shaped this significant change in the legal landscape. Through personal anecdotes and historical context, the narrative reveals the challenges faced by advocates and the moral arguments that ultimately swayed public opinion. The book offers a compelling look at the struggle for justice and human rights during a transformative period in French history.
This historical study provides a comprehensive examination of its subject, offering a balanced perspective that explores various facets and implications. The author delves into key events, figures, and themes, presenting a nuanced understanding of the historical context. Rich in detail and analysis, the work aims to engage readers with both scholarly insight and accessible narrative, making it suitable for both academics and general readers interested in a thorough exploration of the topic.
J'ai écrit ce livre en hommage à ma grand-mère maternelle, Idiss. Il ne prétend être ni une biographie, ni une étude de la condition des immigrés juifs de l'Empire russe venus à Paris avant 1914. Il est simplement le récit d'une destinée singulière à laquelle j'ai souvent rêvé. Puisse-t-il être aussi, au-delà du temps écoulé, un témoignage d'amour de son petit-fils. R.B. Une manière de chef-d'œuvre, d'une sincérité coupante et sans apprêts. Cette histoire est la nôtre. La Croix. Une chronique familiale autant qu'un hommage à la terre d'asile que fut la France avant l'Occupation. Bouleversant. Marianne
La 5ème de couverture indique : "J'ai toujours aimé le théâtre. Au lendemain de la guerre, j'ai découvert son pouvoir d'envoûtement du troisième balcon où se juchaient les étudiants. La jeunesse s'est enfuie, mais la passion est restée. Elle devait porter ses fruits. J'ai écrit en secret des pièces de théâtre. Nombre d'ébauches ont pris le chemin de la corbeille à papier, mais quelques-unes ont échappé à ces excès de dépit amoureux. Les voici réunies sous le titre optimiste de Théâtre I. Au lecteur d'être, par la grâce de l'imagination, le metteur en scène et l'acteur de ces pièces. Frappons les trois coups. Instant magique, le rideau se lève..."
Un siecle et demi apres l'emancipation des Juifs par la Revolution francaise, le regime de Vichy promulguait une legislation qui faisait d'eux des parias dans leur patrie.En presence de ce droit antisemite, il importe de savoir ce que fut l'attitude de l'administration, des juridictions et des milieux professionnels concernes.S'agissant du Barreau, ce livre, fruit de recherches dans les archives professionnelles et judiciaires, retrace comment, au-dela des reactions individuelles, l'emergence d'un antisemitisme erige en regle ordinaire de la societe francaise ne suscita ni refus de principe, ni rejet massif, ni protestation collective.Ce livre evoque aussi les souffrances morales de ces avocats qui furent exclus du Barreau, comme des confreres vereux, par une loi promulguee par un Marechal de France, incarnation de la gloire nationale, simplement parce qu'ils etaient nes juifs.R.B."
1828 kam Victor Hugo über den Platz der Guillotine, als dort die letzten Vorbereitungen für eine Hinrichtung getroffen wurden. Der Scharfrichter veranstaltete eine Art Generalprobe. Am anderen Morgen setzte sich Victor Hugo an seinen Schreibtisch und begann die Niederschrift seines Buches ›Der letzte Tag eines Verurteilten‹. 1829 erschien das dramatische Plädoyer gegen die Todesstrafe. Ein dramatischeres wurde in der Tat wohl niemals geschrieben. Dass Hugo sich in das Leid der anderen versenken konnte, ist die große Quelle seiner Kraft und seiner Wirkung. Dass wir neben dem Verstand und dem Gefühl des Dichters das Herz des großen Menschen spüren, das sichert dieser spannenden, packenden und ergreifenden Erzählung ihren mitreißenden Erfolg.